Partez à la rencontre de nos baby-sitters !

Afin de mieux connaître les missions de Baby Prestige, nous vous proposons un article sous forme d’interviews avec deux de nos baby-sitters. Rencontre avec Viktoria et Clara, deux nannies qui comptent parmi les plus fidèles de notre carnet d’adresses et qui ont bien voulu nous raconter leurs différentes expériences avec Baby Prestige.

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Viktoria, 25 ans 

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Ma plus belle expérience ? Quand les clients reviennent, 1 an plus tard, et qu’ils appellent l’agence en leur disant : « on veut la même personne que l’année dernière, Viktoria, est ce que c’est possible de l’avoir encore cette année ? »

Depuis quand travaillez-vous pour Baby Prestige ? Qu’est-ce qui vous donne envie de continuer depuis tant d’années ?

« Je travaille pour Baby Prestige depuis 2012. Ce qui me plait le plus c’est la diversité du travail.  C’est à chaque fois quelque chose de différent. C’est la flexibilité aussi. Je pense que l’argument le plus fort c’est la flexibilité. Ce travail me permet de faire mes études à côté, de voyager, d’être libre quand j’en ai besoin. C’est aussi le fait d’être très bien payée, en comparaison avec les filles qui sont dans la vente ou dans la restauration, c’est un job étudiant qui est très bien payé. Et je pense aussi les lieux insolites de ce travail, qui sont plutôt beaux, le personnel est très poli.  Les clients sont de pays divers donc cela me permet de pratiquer les langues que je parle. Cela travaille aussi mon ouverture d’esprit. »

Comment avez-vous connu l’entreprise ?

« Je ne savais pas qu’elle existait. A l’époque, Lucinda cherchait elle-même les profils qu’elle recrutait. Elle m’a trouvé sur un site concurrent. C’est elle qui m’a contactée, pas moi. Elle m’a appelé et m’a dit qu’elle avait vu mon profil. »

Qu’est-ce qui vous a poussé à postuler ?

« Le fait de devoir payer mon loyer. Il me fallait un travail. A l’époque, j’avoue que quand j’ai commencé à travailler avec Lucinda, l’agence n’était pas du tout pareille que maintenant. Rien était mis en place, ni le site, ni le formulaire. C’était vraiment le début. Nous avons, avec Lucinda, pris plusieurs décisions ensemble. On était 5 filles, elle nous posait à chaque fois les questions « qu’est-ce que vous en pensez ? Est-ce que cela ça marche comme ça ? ». Elle demandait des retours de notre part et nous impliquait dans le projet. Toutes les décisions, on les validait ou pas, on a été les premières à tout tester. »

Etes-vous satisfaite de l’agence en général ? et pourquoi ? qu’est-ce que travailler pour Baby Prestige vous apporte ?

« Je suis très satisfaite de l’agence, je pense que c’est surtout parce que j’aime vraiment bien ce que je fais.  Je rencontre beaucoup de personnes de cultures différentes, et surtout les enfants, ce qui est un argument. J’aime cette affection qu’ils m’apportent. Cela me permet de combler mon manque d’affection. C’est bien de passer son temps avec les enfants, cela permet de jouer, de rire, d’avoir des câlins, c’est vraiment formidable. »

Qu’est-ce qui différencie vos missions avec Baby Prestige d’un baby-sitting traditionnel ?

« Tout est très bien orchestré, même si j’étais là au tout début et que rien n’était mis en place comme aujourd’hui. C’est quand même très bien organisé dans le sens que peu importe ce qu’il se passe, je peux toujours appeler Lucinda. Elle va toujours répondre, toujours donner une solution. C’était ça le plus important pour moi. C’est la réactivité des responsables, je ne me sens pas seule, elles sont toujours à l’écoute. Peu importe ce qu’il se passe, je sais qu’il y a toujours quelqu’un derrière. Lucinda et les assistantes ne décident jamais d’être du côté des clients.  Elles écoutent toujours deux avis lorsqu’il y a un conflit. La plupart du temps, elles font confiance à l’avis des baby-sitter. S’il y a un souci elles sont toujours du côté de leur employés. Cela change des autres agences qui donnent toujours raison aux clients. Je sais que je peux faire confiance à ma responsable. Elle va toujours écouter les différentes versions et pas dire que c’est de ma faute quoi qu’il se passe. »

Pouvez-vous nous raconter des anecdotes qui font que vos missions chez Baby Prestige sont hors du commun ? Des expériences que vous n’auriez peut-être jamais eu hors de l’agence ?

« Une des missions les plus rigolotes que j’ai eu, c’était au Meurice en janvier dernier. On m’a proposé une mission de 7h, de 10h à 17h, pour une famille japonaise. J’ai accepté, pour moi tout allait bien. C’était pour un garçon de 5 ans. Les enfants de 5 ans c’est l’âge parfait, on joue, on rit. Je sais qu’il y a le jardin des Tuileries pas loin donc c’est super on va bien s’amuser, il fait super beau en plus. A l’hôtel, je comprends que l’enfant ne parle pas anglais, rien du tout, sauf un mot « ice cream ». La maman non plus. Elle me laisse son numéro de téléphone au cas où, mais je ne sais même pas pourquoi, pour quoi faire, parce que je sais que si je l’appelle elle ne va pas comprendre ce que je dis. Sept heures sans pouvoir dire un mot ni comprendre. Ce n’était pas compliqué c’était une catastrophe. Au bout d’une demi-heure, il a commencé à pleurer car il me racontait quelque chose et moi je le regardais avec des grands yeux, je ne comprenais pas un mot.  J’avais de la chance parce que cet enfant était très actif, très content d’avoir une baby-sitter. Il parlait tout le temps, il voulait tout le temps me raconter quelque chose et je voulais prendre part à sa conversation mais je ne pouvais pas.  Et donc je me suis dit que j’allais faire pareil que lui, je vais lui raconter quelque chose, cela faisait comme si on avait une conversation, un dialogue.  Pendant 7h j’ai dû jouer ce jeu, avec les gestes. Et le problème c’est que ce n’était pas un enfant italien qui parle avec des gestes, c’était un enfant japonais qui ne parle jamais avec les gestes, donc c’était très compliqué. Même avec les mains, la tête, il ne bougeait pas quand il parlait. Il parlait c’est tout, je ne pouvais même pas deviner ce qu’il voulait. J’ai appris qu’il voulait une glace parce que la seule chose qu’il savait dire en anglais c’est « ice cream ». Et après j’ai appris que c’est parce qu’il n’y a pas d’équivalent avec la glace en japonais. C’est pour cela qu’il disait ice cream. J’ai eu de la chance j’ai au moins compris une seule chose de toute la journée. »

Vous arrive-t-il de voyager avec des clients ? Pouvez-vous nous raconter ces expériences ?

« Oui beaucoup, Suisse, Londres, Rome.  J’en garde une très bonne expérience, cela s’est toujours très bien passé. Je n’ai jamais eu de problèmes. Il faut toujours faire des compromis. En tant que baby-sitters, on tombe sur des familles différentes. Les parents font parfois des choses différemment que ce que je veux moi, donc il faut toujours trouver un terrain d’entente. Il faut beaucoup parler aux parents. Je pense qu’une baby-sitter doit être au courant des différences de coutumes, cultures, langues. Il faut savoir s’adapter tout le temps. »

Racontez-nous vos plus belles expériences avec Baby Prestige.

« La plus belle ? Quand les clients reviennent, 1 an plus tard, et qu’ils appellent l’agence en leur disant « on veut la même personne que l’année dernière, Viktoria, est ce que c’est possible de l’avoir encore cette année ? ». Cela fait plaisir d’avoir des clients qui reviennent, de revoir des enfants qui se souviennent de qui je suis, comment je m’appelle, et qui sont contents de me voir. La porte d’hôtel s’ouvre et j’entends les enfants qui crient de joie parce qu’ils ont compris que j’étais là. Ils sont super contents parce qu’ils savent qu’ils vont passer une bonne soirée. Ce sont les meilleurs moments. »

Quelles sont selon vous les qualités nécessaires pour travailler chez Baby Prestige ? Quels conseils donneriez-vous aux futures postulantes ?

« L’ouverture d’esprit, la volonté de s’adapter, l’absence de tout jugement. Il faut s’interdire de juger, essayer de comprendre plutôt que de juger. Il faut être souriante. Je pense que le plus important c’est d’aimer ce que l’on fait. Si on n’aime pas les enfants, il faut oublier cette agence, ce n’est pas la peine. »

Partez à la rencontre de nos baby-sitters ! 2

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Clara, 22 ans 

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« J’essaie d’être la plus classique possible, à la Marry Poppins »

Depuis quand travaillez-vous pour Baby Prestige ? Qu’est-ce qui vous donne envie de continuer depuis tant d’années ?

« Cela fait depuis avril 2015, donc deux ans. Alors, ce qui me donne envie de Continuer, forcément les endroits où on nous envoie. Ce sont des gardes de prestige, donc avant tout les lieux. Aussi les familles, les enfants, cela s’est toujours bien passé pendant ces deux années, cela me donne vraiment envie de continuer. J’ai fait de belles rencontres, même si je ne revois pas forcement les enfants. Cela me permet de pratiquer l’anglais, ce qui est très important. Et aussi le salaire. En tant qu’étudiante, cela m’aide beaucoup à financer mes études et mes projets personnels ; donc forcément le salaire joue aussi. »

Comment avez-vous connu l’entreprise ?

« Alors j’ai eu beaucoup de chance parce que je ne connaissais pas du tout l’entreprise.  J’ai une amie qui savait que je faisais beaucoup de baby-sittings, qui m’a dit qu’on lui avait envoyé un mail pour la recruter dans une agence de baby-sittings de luxe. Elle m’a dit : « toi qui fais beaucoup de baby-sittings, tu devrais tenter ta chance ». Donc j’ai décidé de m’inscrire. J’ai démarré les gardes en avril car c’est le début de la période très touristique à Paris. »

Qu’est-ce qui vous a poussé à postuler ?

« Tout de suite j’ai vu que tout ce qui était demandé par l’agence correspondait avec mon profil. Cela faisait déjà plus de trois ans que je faisais du baby-sitting, j’étais déjà partie en vacances avec une famille pendant une semaine à la montagne. Vraiment j’étais très confiante parce que je suis vraiment très à l’aise avec les enfants, c’est mon domaine. L’anglais aussi, le fait de pouvoir pratiquer la langue régulièrement était très attractif.  Je n’étais pas encore bilingue à l’époque, mais je me débrouillais. Toutes les caractéristiques, l’anglais, avoir des bonnes références étaient là. Après je n’avais pas forcement d’attentes puisque je ne savais pas encore comment cela se passait dans les hôtels. Au début j’étais un peu stressée et timide car c’était un peu inédit pour moi de travailler dans un hôtel de luxe. J’ai vu que cela restait du baby-sitting, mais plus haut de gamme et que cela correspondait à ce que j’avais déjà fait avant mais tout en me permettant aussi de valoriser mon CV. On peut vraiment mettre en avant qu’on fait partie d’une agence donc c’était vraiment intéressant. »

Etes-vous satisfaite de l’agence en général ? Et pourquoi ? Qu’est-ce que travailler pour Baby Prestige vous apporte ?

« Cela m’apporte beaucoup d’expertise. Quand je vais à un entretien forcément je mets beaucoup en avant le fait que je travaille à côté de mes études, que c’est mon boulot étudiant, mais en même temps, je dis bien à mon entourage que ce n’est pas que du baby-sitting. Cela prend quand même beaucoup de temps, je fais ça toute l’année et tous les étés. Parfois je peux faire 4 gardes par semaine. Cela peut être fatiguant mais cela m’apporte de la fierté vu que je fais cela à coté de mes études. Je me déplace jusqu’à Paris pour faire mes gardes. Je m’engage dans une agence donc forcément je m’engage vis à vis de clients. Ce que cela m’apporte c’est de montrer que je suis quelqu’un de fiable, de rigoureuse. C’est un plus sur mon CV. Après personnellement, c’est vrai que j’adore les enfants, donc c’est toujours des rencontres. J’aime ça, donc c’est aussi un plaisir. »

Qu’est-ce qui différencie vos missions avec baby Prestige d’un baby-sitting traditionnel ?

« Ce qui différencie c’est que chez Baby Prestige il y a quand même plus de distance, ce sont des familles que je rencontre qu’une fois dans ma vie, c’est très rare que je les revois, donc forcément il y a une distance. Les enfants me testent, ils ne vont pas me revoir donc déjà il y a plus de distance avec les gardes que je fais dans les hôtels que celles en dehors. Ce qui différencie aussi c’est forcément la façon dont on est payé, on passe par une agence donc c’est un vrai travail.  Les langues aussi. Je n’ai jamais été amenée à parler anglais dans les baby-sitting que je faisais avant chez les particuliers alors qu’avec Baby Prestige c’est quasiment à chaque fois. »

Pouvez-vous nous raconter des anecdotes qui font que vos missions chez Baby Prestige sont hors du commun ? Des expériences que vous n’auriez peut-être jamais eu hors de l’agence ?

« Alors ce que j’aime beaucoup c’est quand on a la possibilité de faire des activités avec les enfants. On peut vraiment s’épanouir. J’ai fait un baptême en juin 2016, on était 6 baby-sitters. C’était un baptême pour une petite qui s’appelait Marlow, j’aime beaucoup tout ce qui est événement. C’était un baptême qui a duré toute la journée, on a fini tard la nuit,  il y avait une trentaine d’enfants. Il fallait s’en occuper, aller vers eux. Il y avait plein d’activités installées pour faire des maquillages par exemple, c’était vraiment un très bon souvenir.

J’ai eu la chance de faire des gardes où j’ai pu visiter Paris avec les enfants, j’ai fait les bateaux mouches, je suis allée dans des musées, je n’ai pas un souvenir qui me revient en particulier mais en tout cas quand je fais des activités j’aime vraiment beaucoup. Je n’ai pas eu la chance de revoir malheureusement les enfants. C’est vrai que c’est difficile de construire une relation et d’avoir une anecdote vraiment. Je vois rarement les enfants une seconde fois. »

Vous arrive-t-il de voyager avec des clients? Pouvez-vous nous raconter ces expériences ?

« Non, malheureusement, pas encore. J’ai bien dit à l’agence que j’étais disponible pour cela. Je l’ai déjà fait mais sans Baby Prestige. Je n’ai pas encore eu la chance de faire cela. »

Quelles sont selon vous les qualités nécessaires pour travailler chez Baby Prestige ?

« Je pense qu’il faut être une personne fiable et stable. Il faut comprendre à quel point on s’engage. Quand on envoie nos disponibilités pour la semaine, il faut être disponible à n’importe quel moment et être capable de changer ses plans si il le faut. Je sais que j’annulerais tout ce que j’ai de prévu si j’avais une garde de dernière minute. Je me sens vraiment engagée et je ne peux pas, vis à vis du client, ne pas être présente. Il faut être sérieuse et comprendre les codes du luxe. C’est quand même un autre monde donc je fais vraiment attention à mon apparence. J’essaie d’être la plus classique possible, à la Marry Poppins, pas d’extravagance. Et puis il y a tellement de cultures ; on ne sait jamais sur qui on tombe. Et le savoir-être surtout, cela s’apprend difficilement mais savoir se tenir est très important. Parfois il y a des clients très étranges mais savoir bien se tenir, être polie et être sociable, avoir le sens du contact avec les enfants sont évidemment obligatoires. Les parents sont très exigeants et attendent qu’on ait plein d’idées dans la tête pour pouvoir occuper leurs enfants. »

Pour découvrir les profils de nos autres baby-sitters, rendez vous sur notre carnet d’adresse en ligne !